Le chef de la cellule nationale de crise, le général Ventsislav Moutafchiiski a exprimé des réserves aux idées d'assouplissement des mesures sanitaires, mettant en garde contre les conséquences de pareils actes. Les arguments de la cellule de crise sont on ne peut plus objectifs. La diffusion de l'épidémie suivait au départ une courbe relativement stable, suivie d'un mini-pic début avril, alors que le depuis le Dimanche des Rameaux, la courbe ne fait que monter. Le moindre assouplissement des mesures sanitaires augmenterait les cas positifs, même si la vie doit continuer. Les pouvoirs publics doivent agir en conséquence,  en alternant les séquences d'assouplissement et de resserrement des mesures, jusqu'à ce que la courbe des infectés retombe, a précisé le général.