Une quarantaine de pays dont les États-Unis, les membres de l'Union européenne dont la Bulgarie, le Royaume-Uni ou des États asiatiques ont réclamé à la Russie dans une déclaration commune, d'arrêter «immédiatement ses opérations militaires en Ukraine», et soutenu la démarche de Kiev auprès de la Cour internationale de Justice.
Dans cette déclaration publiée à New York, ces pays apportent leur «soutien» à l'action de l'Ukraine «contre la Russie devant la Cour internationale de justice, sur le fondement de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide de 1948, aux fins d'établir que l'intervention militaire de la Russie n'a aucun fondement juridique et repose sur des allégations non fondées de génocide». Le texte rappelle que la Cour avait exigé de Moscou la fin de la guerre le 16 mars 2022. «La Russie doit être tenue responsable de ses actions. À cet égard, nous considérons que les violations du droit international commises par la Russie engagent sa responsabilité internationale», indique la déclaration. «Les pertes et dommages subis par l'Ukraine requièrent une réparation complète et urgente par la Russie», ajoute le texte.
Les négociations tenues à Istanbul entre l'Ukraine et la Russie sur la libération des céréales bloquées sur le sol ukrainien et pour faciliter l'exportation de grains et engrais russes sont une « lueur d'espoir », a affirmé mercredi le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres. Lors d'une déclaration, le chef de l'ONU, parlant de « progrès réellement substantiels », a espéré qu'un « accord formel » pourrait être atteint prochainement. « On n'en est pas encore là », a-t-il ajouté, évoquant, sans détail, la nécessité de procéder encore à « du travail technique ». « Il a été convenu que les délégations de la Russie et de l'Ukraine se rencontreraient de nouveau en Turquie la semaine prochaine », a déclaré le ministre turc de la Défense Hulusi Akar.
Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken accuse Moscou d'avoir déplacé de force jusqu'à 1,6 million d'Ukrainiens vers la Russie, dénonçant une opération délibérée pour dépeupler une partie de l'Ukraine. À la veille d'une conférence à La Haye sur les allégations de crimes de guerre en Ukraine, le secrétaire d’État affirme que la Russie conduisait une opération de « filtrage » en relocalisant sur le territoire russe les Ukrainiens vivant dans l'est et le sud du pays, contrôlés par l'armée russe ou les séparatistes pro-russes. Il a évoqué des estimations provenant de différentes sources dont le gouvernement russe lui-même, faisant état de 900 000 à 1,6 million de citoyens ukrainiens déplacés en Russie, y compris dans des zones isolées de l'Est. Parmi eux figurent 260 000 enfants, dont certains ont été séparés de leurs parents et placés dans des orphelinats pour être adoptés, a-t-il ajouté.
L’Alliance des droits et des libertés (ADL) formée autour d’Ahmed Dogan soutient fermement la déclaration de PLC-BD qui ont demandé l’instauration d’un "cordon sanitaire" autour de MDL- Nouveau départ, le parti de Délyan Péevski. D’après l’ADL, le..
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