"La nouvelle Assemblée nationale doit commencer par élire un gouvernement régulier". C'est ce qu'a déclaré le leader de GERB, Boyko Borissov dont le parti a remporté les législatives anticipées le 2 avril dernier. "Quel que soit le prix à payer par les partis politiques, de nouvelles législatives comporteraient un risque pour la démocratie parlementaire".
"La campagne électorale est le moment de tracer des lignes de partage à ne pas franchir, mais dans un monde démocratique, si un parti politique ne dispose pas d'une majorité, il faut opter pour une coalition. Les partenaires naturels de GERB sont ceux qui soutiennent l'Ukraine, l'entrée de la Bulgarie dans la zone euro et dans l'espace Schengen. Seule une coalition entre les grands partis est à même de garantir une gouvernance stable qui sera en mesure d'apaiser le business et les Bulgares", a ajouté Boyko Borissov et d'avertir : sans un gouvernement régulier, GERB ne soutiendra pas le budget 2023.
"Une réunion surprenante. Moi, personnellement, je pense que tous les leaders de l'UE et de la Grande-Bretagne devaient y être conviés". Tel a été le commentaire de la vice-présidente Ilyana Yotova au sujet de la réunion sur l'Ukraine, convoquée ce 17..
La ministre des Finances, Téménoujka Pétkova est arrivée à Bruxelles pour défendre l'ambition de la Bulgarie à rejoindre la zone euro. Elle assistera ce 17 février à la réunion de l'Eurogroupe, contrairement à l'information sur son absence de la rencontre...
"Il y a enfin une volonté politique au plus haut niveau de maîtriser le conflit entre l’Ukraine et la Russie avec les moyens de la diplomatie et l’on doit appuyer ce processus". C’est ce qu’a déclaré à des journalistes le président bulgare Roumen..