Ce week-end, les enfants de 5 à 12 ans de la ville de Kazanlak sont invités à participer à un atelier de fabrication de marténista porte-bonheur bulgares, organisé dans le tout nouveau musée de la ville "Ahinora", une filiale de la Galerie des Beaux-Arts. "Nous sommes sûrs qu'ils sont nombreux à connaître l’œuvre du peintre Ivan Milev qui est originaire de notre ville, mais qui a aussi peint le tableau "Ahinora", du nom de l'épouse du khan Asparoukh, fondateur en 681 de la Bulgarie", ont expliqué les organisateurs de l'atelier. Selon une des légendes, c'est justement Ahinora qui aurait confectionné la première martenitsa, de fils de laine rouge et blanche, un message symbolique qu'elle a envoyé, accroché à la patte d'un pigeon voyageur, pour exprimer son amour à son époux et lui souhaiter de rester en bonne sante...
C’est dans la vie de saint Dasius de Durostorum datant du 4 e siècle que l’on peut lire la première description de Sourva en terres bulgares : "Car même si le monde prend fin, cette mauvaise coutume ne sera pas abandonnée. Pire encore, elle est..
Perché dans les montagnes des Rhodopes, le village enchanteur de Ribnovo, dont la population est majoritairement composée de Pomaques, un groupe de musulmans bulgarophones , s’ouvre peu à peu au reste du monde. Il y a encore dix ans, ce hameau..
Pour la 21e année de suite Simitli, dans le Sud-Ouest du pays, accueille un grand festival masqué. Divertissement purement local au début, "Simitli - La terre ancienne des koukéri" est à présent un des événements majeurs avec la participation de ces..
Plus de 4 000 personnes réparties dans 52 groupes masqués prendront part au carnaval "Djamala" les 15 et 16 février à Kustendil, place "Velbajd"...