Une collection de miroirs miniature fait partie de l'exposition consacrée à la beauté des femmes dans l'Antiquité. Elle peut être visitée au Musée d'Archéologie de la ville de Bourgas et a pour intitulé "Les caprices de l'Antiquité. Regardez dans le miroir".
Avant les miroirs, les gens se regardaient dans des rivières, bassins ou cours d’eau pour observer leur reflet. Les premiers miroirs utilisés par les hommes furent fabriqués en pierres ou métaux polis afin d’obtenir une surface réfléchissante comme du cuivre, du plomb, du bronze ou encore de l’étain. Les "miroirs" ne reflétaient que très peu et il fallait souvent les polir à nouveau. Ces premiers miroirs dataient de l’Antiquité, autour de 4000 avant J-C. Les Mayas, Chinois, Égyptiens, Romains, Mésopotamiens et bien d’autres cultures les fabriquaient et les utilisaient. Cependant, ils étaient des objets de luxe que seule la classe dirigeante pouvait s’offrir. Les riches européens ont utilisé des miroirs en verre à partir du Moyen-Âge. Ils furent produits pour la première fois au troisième siècle de notre ère. Le verre n’étant pas réfléchissant, on y joignait sur la surface arrière une feuille de métal.
Un des miroirs miniature de l'exposition ne porte pas d'inscription, mais est à l'effigie d'une déesse, probablement Héra ou Aphrodite. Les miroirs ont été découverts pour la plupart lors de fouilles archéologiques près du village Rouen, le village Yabaltchévo, le site Aquae Сalidаe près de Bourgas.
Les rituels et caprices de ces dames dans l'Antiquité ne différaient pas trop de ceux des femmes d'aujourd'hui. On peut voir dans l'exposition des fioles de parfum, des crayons et des fards à paupières ou des flacons d'essences aromatiques, comme l'explique la guide-conférencière Guérgana Danabachéva.
L'exposition "Les caprices de l'Antiquité. Regardez dans le miroir" est ouverte aux visiteurs jusqu'à la fin mars.
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