Ce 29 avril marque le début de la Semaine Sainte ou la Semaine de la Passion – la dernière de la vie sur terre de Jésus Christ. Pour les Orthodoxes chaque jour de cette semaine est saint et ils attendent avec humilité et recueillement cette période de l’année. Durant cette semaine, Jésus rachète les péchés humains avec ses passions, douleur et amour et le démontre avec sa Résurrection. C’est dans ces moments-là que Jésus-Christ a vraiment révélé sa passion pour nous dans la souffrance qu’il a volontairement endurée pour le rachat de nos péchés. Dans la conscience populaire, la résurrection est le signe du renouveau, de la purification de l'âme et des pensées, l'arrivée d’une nouvelle étape dans la vie, l'avènement du printemps longtemps désiré après l'hiver rude.
Au lendemain du Dimanche des Rameaux qui rappelle l'accueil chaleureux du Christ à Jérusalem, viennent les jours les plus éprouvants du carême pascal. Une semaine de remise en question et de méditation sur les derniers jours de la vie du Sauveur avant sa crucifixion, quand il rachète les griefs de l'humanité au nom de son salut...
La Semaine sainte est, pour les chrétiens, la dernière semaine du Grand carême pascal. Les trois derniers jours /jeudi, vendredi et samedi/ composent le triduum pascal. Elle commence avec la célébration du dimanche des Rameaux et se termine le Samedi Saint par la célébration de la veillée pascale et de la messe de la Résurrection. Le Lundi Saint, "Jésus entra dans le Temple de Dieu. Il chassa tous ceux qui vendaient et qui achetaient à l'intérieur ; il renversa les tables des changeurs, et les sièges des vendeurs de pigeons. Et il leur dit : "Il est écrit : Ma maison sera appelée une maison de prière. Mais vous, vous en faites une caverne de voleurs"...
Selon la tradition bulgare, le samedi de la première semaine du Grand Carême pascal est appelé le samedi de Théodore puisque en ce jour, l’église orthodoxe bulgare rend hommage au martyre Théodore Tyron qui nous renvoie au début du IVe siècle...
La langue maternelle est celle par laquelle les gens des différents peuples se distinguent les uns des autres mais qui, dans le même temps, rapproche ceux qui la maîtrisent. Nous aimons tous notre langue maternelle, ce qui n’empêche toutefois pas..
Compositeur, chef d’orchestre, autodidacte de talent, phénomène unique dans la culture bulgare, Diko Iliev est l’auteur de dizaines de khoros et ratchénitsi, mais aussi de valses, de marches militaires et autres œuvres pour fanfares. Depuis des..