Le leader de GERB, Boyko Borissov a déclaré au parlement que son parti ne renoncera pas à la candidature de Raya Nazarian au poste de président de l'Assemblée nationale. A ses dires, si un président n'est pas élu, la crise constitutionnelle est imminente et la Bulgarie ne pourra même plus organiser d'autres élections. "La question est purement technologique - nous devons élire le président du parlement qui nous permettra de nous acheminer vers de prochaines législatives anticipées. Malheureusement, à ce stade, c'est impossible !", a précisé Boyko Borissov. De son côté, le leader du MDL, Délyan Péevski a appelé à la formation d'un gouvernement euro-atlantiste.
Le chef de file de "Renaissance", Kostadin Kostadinov a indiqué à son tour que le système politique dans le pays est à l'agonie, ajoutant que les milieux politiques s'immisçaient même dans les affaires de l'église orthodoxe bulgare, cherchant à provoquer un schisme idéologique et spirituel.
"La transition et l'adhésion de l'Ukraine et la Moldavie à l'UE sont importantes, car c’est dans ces pays que vit une grande diaspora bulgare". C'est ce qu'a déclaré le premier ministre Rossen Jéliazkov à Odessa où il participe au 4e Sommet Ukraine-Europe..
Le ministre des Affaires étrangères Georg Gueorguiev s'est entretenu au téléphone avec son homologue macédonien Timco Mucunski et l'a officiellement informé de la décision adoptée par l'Assemblée nationale bulgare le 30 mai sur les progrès de la Macédoine..
"La politique de sanctions de l'UE contre la Russie a surtout fait profiter la Chine". C'est ce qu'a déclaré Roumen Radev à la CNN. Concernant la guerre en Ukraine, le président est d'avis que "le moment est proche lorsque l'Ukraine restera sans hommes au..
Le ministère des Affaires étrangères a déclaré suivre avec une grande préoccupation les derniers événements au Proche-Orient et l'escalade des tensions..
Selon le dernier sondage de l'Institut "SOVA HARRIS", la campagne d'information et de sensibilisation à l'euro du gouvernement serait réussie, comme..
Selon le Conseil des ministres, il n'existe pas pour l'instant de danger de l'escalade de la tension au Proche-Orient, après les dernières frappes d'Israël..