"Une réunion surprenante. Moi, personnellement, je pense que tous les leaders de l'UE et de la Grande-Bretagne devaient y être conviés". Tel a été le commentaire de la vice-présidente Ilyana Yotova au sujet de la réunion sur l'Ukraine, convoquée ce 17 février à l’Élysée par Emmanuel Macron, en présence des chefs de gouvernement de l'Allemagne, du Royaume-Uni, de l'Italie, de la Pologne, de l'Espagne, des Pays-Bas et du Danemark, ce dernier représentant les pays baltes et scandinaves. La présidente de la CE, Ursula von der Leyen, le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte et le président du Conseil européen participeront aussi à ce mini-sommet.
"L'Europe ne doit pas se laisser guider par les émotions et agir dans la précipitation, après tout ce qui s'est dit lors de la conférence à Munich sur la sécurité. Les institutions européennes doivent discuter des actions futures de l'Union européenne au sujet de la guerre en Ukraine et des éventuels pourparlers de paix, avant de prendre les décisions qui s'imposent, avec l'accord de tous les pays membres. Personne n'a gagné en prenant des décisions précipitées sous l'emprise des émotions", a répété Yotova.
Le ministre de la Défense Atanas Zapryanov propose d’instaurer des postes de commandement des autorités publiques en temps de guerre. Le projet de décret du Conseil des ministres sur ce sujet a été publié sur le portail de consultations publiques...
Une délégation bulgare, conduite par le premier ministre Rossen Jélyazkov, participera au Sommet de l’OTAN qui commence le 24 juin à La Haye et qui portera sur les projets de défense et de dissuasion. Atanas Zapryanov, ministre de la Défense, qui fait..
"Il faut être très prudent pour ne pas laisser la Bulgarie être impliquée dans les conflits qui s’aggravent". C’est ce qu’a déclaré le président Roumen Radev à des journalistes au village de Dren, dans la région de Radomir, où il assiste aux festivités..